Qui sommes-nous ?

Une congrégation diocésaine fondée en 1827 dans l'Ouest de la France (Région de Rennes). Notre charisme est avant tout spirituel : Adorer et aimer Dieu sous l’aspect de Sa Justice, au travers d'activités professionnelles ou apostoliques diverses.

Nous sommes arrivées en Haute-Volta en 1961, précisément dans le diocèse de Fada N’Gourma, en réponse à l’appel lancé par l'encyclique « Fidei Donum ». Jusqu’à cette date, notre congrégation n’avait quitté sa région d’origine que pour s’exiler en Hollande en 1904. Au Burkina Faso, nous sommes restées dans le diocèse de Fada N'Gourma, jusqu'en l’année 2000, date à laquelle nous- avons ouvert un noviciat à Ouagadougou.

Combien sommes-nous ?

Actuellement, dans l’Archidiocèse de Ouagadougou, nous sommes huit (8) sœurs professes (4 françaises de vœux perpétuels et 4 burkinabè de vœux temporaires) réparties en deux (2) communautés : celle du Noviciat et une communauté d’étudiantes.

Depuis quelle année sommes-nous dans l’Archidiocèse de Ouagadougou ?

Notre Noviciat a été ouvert le 28 mars 2000, à Dassasgho. Une communauté d’étudiantes s'est constituée provisoirement dans l’enceinte du C.F.P.R. depuis septembre 2008.

Que faisons-nous pastoralement ?

A la communauté du noviciat, il faut distinguer deux entités :

- Deux (2) sœurs chargées de la formation des novices et jeunes professes. L’une d’elle participe à la chorale de la C.C.B.

- Deux (2) sœurs chargées du Centre Féminin « Anne Boivent » installé dans le terrain de la communauté. L’une d'elles participe en plus à la catéchèse sur la paroisse St Camille.

A la communauté du C.F.P.R. :

- Deux jeunes professes sont étudiantes à l’école de santé « Ste Edwige » sur le quartier de Cissin.

- Une jeune professe est infirmière stagiaire chez les sœurs de St Gildas.

- Une sœur aînée est responsable de communauté et maîtresse de maison tout en collaborant à la formation, à l'intérieur et à l’extérieur de notre congrégation.

Suggestions

Nous aimerions :

- que se reconstitue l’U.D.R. et que les rencontres reprennent à raison d’une rencontre par trimestre

- que se développe un meilleur esprit de collaboration entre les diverses congrégations.